Les adotes en papotent
On pourrait résumer les camps par une simple phrase monotone : deux semaines dans un chalet perdu en montagne. Cette phrase est, certes, juste mais elle est aussi tellement incomplète.
Les camps Prabert sont de doux mélanges entre montagne, Dieu et rencontres, et il faut bien avouer que le résultat est assez incroyable : Perdu dans Belledone, ce chalet entouré de paysages tous des plus magnifiques est propice à de belles rencontres qui perdurent même après la fin des camps
Des liens se créent au cours de chaque balade, chaque grand jeu qui sont uniques et plus fous les uns que les autres.
Cette année, le camp IV fut un peu moins peuplé que les années précédentes mais cela n’a absolument pas altéré la bonne humeur quotidienne rythmée par les blagues, références et nombreux “piou piou”.
D’ailleurs : PIOU PIIIIOOUUU !!🐥
Tous ces moments constituent des souvenirs inoubliables qui refont surfaces de temps en temps durant l’année et qui nous poussent aussi à retarder le plus possible le temps des » au revoir » qui se font en pleurs. Heureusement la promesse des retrouvailles organisées en novembre par cette incroyable famille (car je pense qu’à ce moment-là, on n’appelle plus cela une colonie mais une famille…) nous laisse partir le cœur un peu plus léger. On peut même prévoir d’autres moments où l’on pourrait se retrouver malgré la distance !
Les adotes du camp IV 2022
